« Au non de Vinci »
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« Au non de Vinci »
« Au non de Vinci »
Film documentaire
Prix d'encouragement au Festival du film amazigh en Algérie
À travers Claude Vinci, qui a connu le maquis à l'âge de 12 ans, en janvier 1944, avec des parents résistants, le film est un hymne au courage et à l'humanisme. Mobilisé en avril 1956, le chanteur (Claude Vinci) découvre la tragique réalité du djebel lorsqu'il participe, quelques mois plus tard, à une « opération de pacification » dans un village de Kabylie. C'est le choc !
Le film intitulé « Au non de Vinci », surprend le jeune public qui découvre « l'autre France », occultée par l'histoire officielle algérienne : Jean-Paul Sartre, le couple Montand-Signoret, le « manifeste des 121 », le réseau Jeansan, Maurice Audin, et tous ces Français qui avaient aidé la cause algérienne. On a évoqué aussi les coopérants techniques qui ont formé, plus tard, l'élite de l'Algérie indépendante.
M'barek Mennad (1), cinéaste de 35 ans, tombe sous le charme : « J'ai été frappé par son récit, son engagement, sa modestie. J'ai tout de suite pensé faire un film pour visiter l'histoire avec un autre regard. »
Source:
lefigaro.fr/international
Les jeunes Algériens découvrent la France anticoloniale
Alger AREZKI AÏT-LARBI
15/10/2007
(1) M’barek Menad, est militant associatif et professeur de lycée à Tigzirt (Algérie)
Admin
Film documentaire
Prix d'encouragement au Festival du film amazigh en Algérie
À travers Claude Vinci, qui a connu le maquis à l'âge de 12 ans, en janvier 1944, avec des parents résistants, le film est un hymne au courage et à l'humanisme. Mobilisé en avril 1956, le chanteur (Claude Vinci) découvre la tragique réalité du djebel lorsqu'il participe, quelques mois plus tard, à une « opération de pacification » dans un village de Kabylie. C'est le choc !
Le film intitulé « Au non de Vinci », surprend le jeune public qui découvre « l'autre France », occultée par l'histoire officielle algérienne : Jean-Paul Sartre, le couple Montand-Signoret, le « manifeste des 121 », le réseau Jeansan, Maurice Audin, et tous ces Français qui avaient aidé la cause algérienne. On a évoqué aussi les coopérants techniques qui ont formé, plus tard, l'élite de l'Algérie indépendante.
M'barek Mennad (1), cinéaste de 35 ans, tombe sous le charme : « J'ai été frappé par son récit, son engagement, sa modestie. J'ai tout de suite pensé faire un film pour visiter l'histoire avec un autre regard. »
Source:
lefigaro.fr/international
Les jeunes Algériens découvrent la France anticoloniale
Alger AREZKI AÏT-LARBI
15/10/2007
(1) M’barek Menad, est militant associatif et professeur de lycée à Tigzirt (Algérie)
Admin
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